Le 10 septembre, des centaines de milliers de jeunes et de travailleurs en France sont descendus dans la rue, malgré la répression policière et l’hostilité des médias, pour exprimer une colère accumulée depuis des années face à l’austérité. Cette journée de mobilisation, véritable coup de tonnerre politique, annonce une possible intensification de la lutte avec la perspective d’une grève reconductible le 18 septembre.

En France, la chute de Bayrou a ouvert une crise politique majeure, sur fond d’austérité et de manœuvres parlementaires. La force décisive réside désormais dans la rue et les grèves, capables de renverser l’ordre établi.

Le lancement d’un nouveau parti par Jeremy Corbyn et Zarah Sultana a suscité une vague d’enthousiasme face au discrédit du gouvernement Starmer et au vide politique à gauche du Labour Party. Cette initiative ouvre un terrain inédit pour les communistes et pose la question cruciale de l’attitude à adopter vis-à-vis d’un projet marqué par les limites du réformisme.

La vérité est que tout comme Saint-François d’Assise au XIIIe siècle, duquel il a tiré son nom, le rôle de François Ier aura été de nettoyer la réputation d’une institution corrompue, profondément liée au statu quo capitaliste et de plus en plus détestée.

Hier, 14 tonnes de pièces détachées pour mitrailleuses devaient être chargées à bord d’un cargo israélien, au port de Fos-sur-Mer (France), à destination de Haïfa, en Israël. Mais avant-hier, dans un communiqué, le syndicat général CGT des ouvriers dockers et du personnel de la manutention portuaire du Golfe de Fos annonçait son refus catégorique de […]

La mobilisation – initiée par les étudiants – a fait un pas en avant immense le 15 mars, avec une gigantesque manifestation qui a rassemblé près d’un demi-million de personnes.

La plus grande manifestation de l’histoire de la Serbie a eu lieu à Belgrade le 15 mars. On estime qu’au moins 300 000 personnes y ont participé.

Ce séisme politique est une nouvelle expression de la crise de régime du capitalisme français.

Le dénouement de cette guerre impérialiste est un démenti brutal et sanglant des mensonges des propagandistes qui ont prétendu, depuis le premier jour, qu’il s’agissait de défendre la « souveraineté » de l’Ukraine.

Le comportement de Musk a bien sûr suscité la condamnation de ses adversaires politiques capitalistes, qui l’accusent d’« ingérence étrangère » et de « diffuser de fausses informations ». C’est le summum de l’hypocrisie.