Israël a bombardé Doha pour cibler des dirigeants du Hamas, avec la complicité tacite des puissances impérialistes qui dénoncent hypocritement l’attaque tout en continuant d’armer l’État sioniste. Ce geste s’inscrit dans la fuite en avant de Netanyahou, qui cherche à prolonger et étendre la guerre afin de sauver son pouvoir, quitte à plonger toute la région dans le chaos.

Le 10 septembre, des centaines de milliers de jeunes et de travailleurs en France sont descendus dans la rue, malgré la répression policière et l’hostilité des médias, pour exprimer une colère accumulée depuis des années face à l’austérité. Cette journée de mobilisation, véritable coup de tonnerre politique, annonce une possible intensification de la lutte avec la perspective d’une grève reconductible le 18 septembre.

En France, la chute de Bayrou a ouvert une crise politique majeure, sur fond d’austérité et de manœuvres parlementaires. La force décisive réside désormais dans la rue et les grèves, capables de renverser l’ordre établi.

En Indonésie, des milliers de jeunes et de travailleurs se soulèvent contre l’austérité, la corruption et la répression brutale du régime. Ce mouvement marque un tournant révolutionnaire et ouvre la voie à la lutte pour renverser le capitalisme.

Le chômage massif, l’endettement étudiant et le coût exorbitant de la vie plongent la jeunesse canadienne dans une impasse. Cette « récession des jeunes » révèle l’échec du capitalisme à offrir un avenir aux nouvelles générations.

La crise climatique s’aggrave sous nos yeux, non pas à cause de nos gestes individuels, mais parce qu’une poignée de milliardaires détruisent la planète pour leurs profits. Pour y mettre fin, il faut rompre avec le capitalisme.

Le racisme n’est pas une relique du passé, mais un pilier du capitalisme qui divise les travailleurs pour mieux les exploiter. Pour en finir, il faut arracher ce système à la racine par une révolution socialiste.

Entre guerres, misère, destruction écologique et corruption généralisée, le capitalisme plonge l’humanité dans une irrationnalité apparente.

Partout dans le monde, des conflits sanglants éclatent tandis que les marchands d’armes et les puissances impérialistes s’enrichissent. Ces guerres ne sont pas des accidents : elles sont le produit inévitable du capitalisme.

Au Canada, alors que des millions de travailleurs s’enfoncent dans la pauvreté, une poignée de milliardaires accumule des richesses obscènes. Cette situation n’est pas une fatalité : c’est le produit du capitalisme, qu’il faut renverser.