Les résultats du deuxième tour des élections législatives françaises ont suscité le soulagement de millions d’électeurs qui redoutaient une victoire du Rassemblement national, l’extrême droite. La gauche, le Nouveau front populaire (NFP), arrive en tête – devant le groupe des macronistes. L’assemblée est profondément divisée, et la crise du régime s’accélère. Dans cet épisode, Vincent reçoit Jules Legendre, éditeur pour le journal Révolution, de la section française de l’ICR pour en discuter.

Le Parti conservateur britannique vient de subir sa plus humiliante défaite en près de 200 ans d’existence, pendant les élections du 4 juillet. La victoire du Labour Party de Starmer ne reflète cependant pas un vote enthousiaste. Le grand gagnant de cette élection est l’abstention, reflet d’une méfiance croissante de la population envers les partis politiques traditionnels. Dans cet épisode, Hélène nous explique comment nous en sommes arrivés là, qu’est-ce qui attend les travailleurs britanniques avec un gouvernement travailliste, et quelles sont les perspectives pour la lutte des classes au Royaume-Uni.

Les résultats du deuxième tour des élections législatives en France ont suscité la joie et, surtout, le soulagement de millions d’électeurs qui redoutaient une victoire du Rassemblement national (RN, extrême droite).

Les conservateurs britanniques ont subi une défaite dévastatrice, permettant à Keir Starmer de prendre le pouvoir avec une majorité massive. Mais ce nouveau gouvernement travailliste sera marqué par des crises intenses. Les travailleurs et les jeunes doivent se préparer à la bataille. 

Cet article a été publié le 1er juillet par nos camarades français organisés autour du journal Révolution.

La plupart des jeunes et les travailleurs qui se mobilisent dans les rues, depuis le 9 juin, ont une priorité en tête : empêcher l’extrême droite d’accéder au pouvoir le 7 juillet prochain.

L e 25 avril 1974, des chars menés par de jeunes officiers révolutionnaires roulaient dans Lisbonne, tandis que des centaines de milliers de travailleurs sortaient dans les rues pour célébrer la chute de la dictature qui les opprimait depuis plus de quatre décennies. Cette mobilisation révolutionnaire des masses portugaises fit alors vaciller le système capitaliste. Début 1975, le Times de Londres écrivait : « le capitalisme est mort au Portugal ». Il a pourtant survécu.

La classe dirigeante internationale est passée à l’offensive contre toute organisation affichant sa solidarité avec la Palestine. Les communistes révolutionnaires de Der Funke – la section autrichienne de la Tendance marxiste internationale – ont été calomniés et harcelés par nos ennemis politiques pendant des mois. Aujourd’hui, nos camarades Sonja et Alex ont été convoqués au bureau du procureur en tant qu’accusés, parce qu’ils ont partagé la déclaration de la TMI dénonçant la guerre d’Israël.

Depuis le 27 octobre, les mécaniciens des ateliers de réparation de Tesla, en Suède, sont en grève pour obtenir une convention collective. Face à Elon Musk, le patron milliardaire de cette entreprise, les travailleurs en lutte peuvent s’appuyer sur une vague de solidarité qui dépasse les frontières de la Suède.

Un mois après le début de la campagne de nettoyage ethnique menée par le gouvernement israélien contre les Palestiniens, l’Organisation des dockers du port de Barcelone (OEPB) a décidé de « ne pas permettre le passage dans notre port de navires transportant du matériel de guerre ». Le syndicat des travailleurs portuaires (USTP) a pris la même décision le 8 novembre.